Comme on l’a vu dans le précédent texte traitant de la zoothérapie avec un perroquet, cet animal présente un défi de contraintes qu’on ne rencontre pas avec les thérapeutes à poils tels chiens, chats, lapins ou autres. Ça ne veut pas dire qu’il ne peut pas se révéler excellent auxiliaire thérapeutique, ça veut simplement dire qu’avec lui, il y a quelques petites choses à comprendre et surtout, à respecter.
En effet, Coco peut rendre de grands services dans un contexte de thérapie assisté par l’animal, mais il ne le fera que si sa nature est respectée… Qu’on se le dise!
On continue donc aujourd’hui à décortiquer quelle est cette nature et comprendre dans quelle mesure celle-ci peut s’exprimer dans un programme de zoothérapie.