Dans le premier numéro sur la vie sociale des perroquets, on a vu à quel point une vie sociale riche est essentielle tant à la bonne santé mentale qu’à la santé physique de l’oiseau et comment une vie sociale pauvre peut nous détruire un perroquet sans qu’on s’en rende trop compte. Jusqu’au jour où sa détresse devient apparente.
Ce qui m’étonne encore après des années de pratique, c’est la facilité déconcertante avec laquelle on peut faire apparaître et se maintenir des comportements complètement aberrants chez nos perroquets, des comportements qui vont totalement à l’encontre de l’adaptation et ce, sans même sans rendre compte. En 2019, peut-on encore plaider l’ignorance dans un monde où l’information circule à vitesse grand V? Ça ne devrait pas, mais malheureusement, il y a encore trop de ces gens qui aiment mal tout en aimant trop leurs oiseaux.
Dans ce texte-ci, on continue l’exploration de la vie sociale de notre perroquet et la manière dont nous pouvons arriver à combler ce besoin si essentiel à son bien-être à LUI.